Dès mon entrée dans l'ascenseur, je sens l'appréhension se glisser dans mes veines. Tel un venin glacé, elle me fait frissonner. Je sais parfaitement que mon échec sera sévèrement punis. Sans doute aurais-je du suivre le conseil de Carlos et quitter cette ville maudite ! Mais non, me voilà là où je dois être ce soir. Peut importe la punition. Je ne suis pas un lâche ! J'assumerais tout ce que Marcus me fera. La protection de notre usine de sang était mon travail et je l'ai confié à une de mes subordonnée de confiance. En vérité, ce n'est pas ma faute mais plus la sienne. Deirdre a clairement sous estimé la pugnacité des Culebras et de leur cheffe Victoria Castillo. Et s'en est résulté le pillage de notre réserve de sang frais. Mais je me refuse à l'incriminer ! Marcus se montrera peut-être clément envers moi, pas avec elle... L'ascenseur qui atteint le dernier étage me sort alors de mes pensées. Les portes s'ouvrent sur le grand hall du penthouse de Marcus. Mon Sire a des gouts sur en matière de décoration. J'apprécie l'atmosphère de ce lieu qui me ferait presque oublier les raisons pour lesquelles je suis convoquer ici même ce soir.

Mon cœur bat très rapidement, je sais que mon Sire m'apprécie, mais il apprécie bien plus encore que ses affaires restent fructueuses en ville et actuellement, les pertes sont plus que conséquentes. Je m'avance vers le grand salon et là, une odeur que je connais bien envahit mes narines. Le sang frais a coulé ce soir. Je frappe à la lourde porte en bois qui me fait face et la voix douce et suave de mon sire m'invite à entrer. Je pousse donc la porte et là, l'horreur me submerge. Deirdre est là elle aussi, à genoux aux pieds de Marcus. Celui-ci pose son regard bleu glacé sur moi et me dit : "Je te laisse une seule chance de me dire la vérité Gabriele. Je te conseil de bien réfléchir à tes mots. Car mon cher enfant, comme tu le sais je ne tolère aucun mensonges ni omissions !" Mon regard se pose alors sur ma pauvre Deirdre. De son cou coule du sang, de sa bouche également. Ses yeux d'ordinaires bleu saphirs sont injectés de sang et son visage si doux et délicat défiguré par la peur face à ce qui l'attend. "J'attends !" Dit la voix froide de mon Sire.

Je prends une grande inspiration et finalement je décide pour mon bien et celui de mon clan de dire la vérité. "J'avais confié la tache de la protection de l'usine à Deirdre et ses hommes. J'aurais dû superviser moi même les choses. Si quelqu'un doit être punis par vous ce soir, c'est moi." Un petit rictus étire à cet instant les lèvres de mon sire. "Ne t'en fais pas, tu auras aussi ta punition." Il caresse ensuite le visage de la vampire à ses pieds et il la relève d'une main sous son menton. "Approche toi." Me dit il en me tendant sa main couverte de sang. Je m'avance et me positionne à coté de lui. "Je le fais ou tu le fais ?" Je le sais bien, Marcus n'est pas adepte des châtiments doux et je préfère devoir la tuer moi même rapidement que de le laisser jouer des jours avec elle avant de finalement l'achever ! Elle mérite mieux que ça. "Je le fais moi." Mon sire s'écarte alors et me laisse me placer face à mon employée. Ma main se tend vers l'arrière prête à frapper en plein cœur de la vampire, lorsque du sang me gicle au visage. Sur le moment je ne réalise pas ce qu'il se passe. Il me faut quelques seconde pour comprendre que la tête de Deirdre vient tout juste de rouler à mes pieds et que son corps est à présent sur le sol de marbre blanc couvert de sang. "Tu vois, je sais me montrer clément." Dit Marcus en caressant mon visage.

Le silence s'installe entre nous, toujours la main sur mon visage, mon Sire me guide jusqu'à sa chambre. Là, il me demande de quitter ma veste et de retirer mes chaussures et ma cravate, puis il m'admire un instant avant de me demander de m'allonger. Je le fais sans me faire prier. Cela fais longtemps que nous n'avons pas été intimes et vue mes fautes je me demande ce qu'il me réserve...  Il retire également sa veste et chaussures et s'allonge à coté de moi. Sa main caresse mon visage, puis descend jusqu'à mon cou, avant de trouver son chemin vers mon torse. Là, il s'empare avec deux doigts d'un de mes tétons qu'il pince avec force. Un petit gémissement sort de mes lèvres et mon sire sourit. Son visage se glisse ensuite dans mon cou qu'il couvre de baisers. C'est tellement bon, l'excitation monte en moi à mesure que la pression de ses lèvres se fait plus forte sur ma gorge. Je veux le toucher, lui montrer que j'aime ce qu'il me fait et lui rendre la pareil, mais il m'empêche de ses mains qui retiennent à présent mes poignets prisonniers. "Marcus..." "Tais toi ! Je ne veux rien entendre d'autres que tes soupires et tes cris ce soir !" Sa voix dure et autoritaire me rappelle alors qu'une punition est prévue pour moi ce soir. J'ai à peine le temps de retrouver le silence que les baisers reprennent en descendant sur mon torse à présent entièrement dénudé. La première morsure est douce, les crocs de mon Sire se plantent dans le creux de mes hanches. La seconde se porte sur mon bas ventre, elle est plus intense et cruelle. C'est très douloureux, mais je ne dis rien. Les baisers reprennent au même rythme que la langue de mon Sire qui profite du sang qui recouvre le bas de mon ventre. Le plaisir et la douleur se mélangent au rythme de l'alternance des baisers et des morsures je me sens faiblir à mesure le temps passe. Il me vide de mon sang gorgée par gorgée et je reste sous l'emprise de ses crocs impuissants. J'ai honte de moi en cet instant et encore plus quand je me rend compte que j'ai une érection conséquente que la main habile de mon sire ne laisse pas retomber. Marcus sait très bien que déteste ne pas avoir le contrôle et son rire se perd dans le creux de mon cou. Il n'arrête pas pour autant d'aspirer mon sang et soudainement, c'est le noir...  

Lorsque je me réveil je suis entièrement nu dans la chambre de Marcus juste recouvert d'un drap de soie satiné noir. Le soleil baigne la pièce. Le jour c'est levé. Je tente alors de me relever, mais je n'en ai pas la force. Je me rends alors compte que je suis presque desséché tellement Marcus m'a pris de sang ! Je suis en colère ! Mais impuissant et prisonnier de mon propre corps, je me laisse aller au sommeil. Là, je me revois enfant chez moi en toscane. Les oliviers m'entourent, le rire de ma mère vient doucement chatouiller le creux de mes oreilles et une larme coule sur ma joue. "Maman..." Dis-je dans un murmure alors que les cheveux bruns de ma mère porter par le vent du sud viennent fouetter mon visage. Mon rêve de souvenirs reprends alors. Cette fois, je me revois face à mon père. Il voudrait que je tue un renard pris à dévorer nos poules, mais j'en suis incapable. Dans un geste violent, mon père me pousse et brise ensuite le cou du pauvre animal pris dans le piège qui protégeait le poulailler. Je sens alors une rage monter en moi ! Je me relève et du haut de mes 14 ans je le pousse tellement fort que son cou se brise sur le sol du poulailler. J'ai peur, je tremble, je tente de réveiller mon père, mais rien y fait, bien avant que je ne secoue son corps, il était mort. Les larmes m'aveuglant, je cours jusqu'à la maison familiale, là, mes deux sœurs et ma mère sont en cuisine. Dés que je franchis la porte, je saute dans les bras de ma mère. Ses mains douce et blanche se plongent alors dans mes cheveux et sa voix douce me murmure en latin qu'elle m'aime. Je me détache ensuite d'elle et je lui explique ainsi qu'à mes sœurs ce qu'il c'est passé avec notre père. Nous faisons alors à cet instant, ma mère mes sœurs et moi un pacte. Aucun de nous ne révèlera jamais ce qu'il c'est passé ! Pour tous, Leonidas serait tombé après avoir bu trop de vin et se serait briser la nuque ! Jamais plus nous en avons reparler par la suite.  

Je me réveil à nouveau, je vois trouble. Une main froide se pose sur mon visage. La personne avec moi me murmure quelque chose, mais je ne comprends pas ses mots. Je tente de le lui dire mais sans succès. Quelques chose se pose alors sur mes lèvres et coule dans ma bouche. Du sang ! Oui, enfin ! Je l'avale avec avidité le nectar ferreux, mais à peine le gout se fait il sentir dans ma bouche que la source disparait me laissant douloureusement affamé dans ma prison de chair !  

Les rêves reprennent, je viens d'avoir 16 ans et c'est ce soir que je rencontre ma promise. Eléné une nièce de Lucius Altuil le consul et nouvel époux de ma mère. Je ne la connais que de nom et ça me rend anxieux. Mes mains sont moites, je suis inquiet. Pour beaucoup, je suis trop vieux pour ne pas être déjà marié, mais moi je voulais conserver ma liberté... Mon oncle entre alors et me sourit. "Elle est là." Me dit il. Il arrange ensuite ma toge blanche et dorée et me pousse vers la sortie. Toute ma famille est là, ma mère et son nouvel époux le consul, mes deux sœurs et mon demi frère dans les bras de ma mère. Eléné est amenée face à moi. Son visage est voilé de blanc. Elle sent bon, un mélange de fleur et d'ambre. J'aime cette odeur c'est bon signe ça non ? C'est peut-être idiot de penser cela, mais je ne connais rien de l'autre sexe et pour cause, je n'ai partager le lit d'aucune femme ni d'aucun homme d'ailleurs ! Mais je sais néanmoins pour avoir surpris ma mère et son nouvel époux en plein acte comment on fait ! C'est déjà ça. La cérémonie a lieu, nous échangeons face au prêtre nos vœux. Puis enfin, on me demande de le lever le voile blanc du visage de celle qui est à présent ma femme. Je le fais d'une main fébrile. Elle est belle ! Ses cheveux sont blonds vénitiens, ses yeux verts pâle et ses lèvres aussi rose qu'un bouton de rose. Je lui souris et je dépose sur ses lèvres comme le prêtre le demande un baiser. On nous applaudit et on nous couvre ensuite de fleurs. La fête et les félicitations s'ensuivent ensuite et enfin la nuit de noce.

Le brouillard dans mes yeux ne s'estompe pas lorsque à nouveau mon regard s'ouvre sur ma réalité. Mon ventre se tord de douleur ! C'est pire encore que lors de ma transformation. J'ai tellement mal que je voudrais crever ! De nouveau les mains froides se posent sur mon visage. Le sang à nouveau m'est donné comme précédemment et il m'est retiré tout aussi rapidement. Le supplice est insupportable j'en pleure en replongeant à nouveau dans le sommeil.

Je suis cette fois adulte, des cris raisonnent dans ma demeure. Dehors le vent souffle et la poussière passe sous la porte. Combien de temps déjà cela fait il qu'elle endure cette souffrance ? Allongée dans son lit de souffrance mon épouse tente de mettre au monde notre troisième enfant. Lorsque je regarde par l'entrebâillement de la porte ma sœur m'aperçoit et vient vers moi tendis que mon autre sœur et la guérisseuse restent au coté de mon Eléné. Les mains de mon autre sœur saisissent alors les miennes et elle me dit des larmes dans les yeux. "Va vite, cours le plus vite que tu le peux et ramène un prêtre ! Elle a perdue trop de sang..." Je ferme les yeux tentant de comprendre ses mots. "Arrêtez le saignement alors !" "Gabriele !  L'enfant lui peut survivre. Eléné le sait. Elle en a conscience elle veut qu'on sauve le bébé et que tu aille chercher un prêtre ! Ne la laisse pas mourir ainsi mon frère !" Les larmes roules sur mes joues alors que je cours jusqu'au temple. Là bas, un des prêtre accepte de venir avec moi. Nous revenons juste à temps pour qu'il la bénisse et écoute ses derniers mots. On me dépose ensuite mon premier fils dans les bras. Mes deux filles endormis dans leur chambres, je leur glisse un baiser sur le front avant de m'assoir dans leur chambre mon fils dans mes bras. Le lendemain, nous enterrons mon épouse et j'emménage à nouveau chez ma mère avec les enfants. Elle s'occupe de mon fils et de mes filles alors que moi, je sombre peu à peu dans un gouffre de tristesse si immense et profond que je peine à me lever de mon lit et lorsque je le fais, c'est pour passer mon temps à la taverne ou dans les bras d'hommes et de femmes qui comblent le temps d'une nuit le puit de tristesse dont je suis prisonnier.

Mon dernier rêve m'emporte vers mon dernier souvenir d'humain. Moi, sortant de la taverne, un homme d'une beauté magnétique me fixant de son regard bleu perçant. Il me parle, mais ses lèvres ne bougent pas. J'ai trop bu, je délire totalement ! Il faut que je rentre chez moi. Je tente plusieurs fois de monter sur mon cheval mais sans succès. La voix de l'homme me parvient à nouveau. Il me propose de me ramener sur son propre cheval ce que j'accepte sans aucune méfiance vue mon état d'ébriété. Durant le voyage, je dû m'endormir et lorsque mes yeux s'ouvrent à nouveau, je suis allongé dans un lit et une chambre qui ne sont pas la mienne ! Une douleur au cou me fit tressauter lorsque je tente de me lever. Instinctivement, je porte ma main vers mon cou et elle se couvre de sang. De mon sang ! Je suis paniqué, mon regard tourne partout de la pièce et je tombe finalement sur l'encadrement de la porte où l'homme rencontré hier m'observe. "N'essaye pas de bouger." Me dit il sans même ouvrir la bouche ! "Vous êtes quoi ? Un démon ?" Lui lançais-je avec rage ! Il rit. Et ses lèvres remuent enfin lorsqu'il me parle. "Non. Je ne suis pas un démon. Mais je ne suis pas non plus humain, mais je pense que ça tu l'as compris toi même." Je fais oui de la tête et je me rends alors compte de l'horreur de la situation et je tente de fuir. Trop faible, je tombe au sol. L'homme me relève comme ci mon poids n'était rien pour lui et me remet au lit. "Il va falloir que tu apprenne à écouter lorsque je te parle ! Je n'aime pas  devoir me répéter !" Son regard bleu change soudainement de teinte et devient rouge sang ! Aussi rapide que le vent, il se jette sur moi et la douleur dans ma gorge lorsque ses crocs se plantent en elle irradie tout mon corps. Il aspire ma vie, il la boit, je tente de le repousser, mais l'étau de ses bras est bien trop puissant pour moi. Je me sens faiblir alors que ses lèvres se posent sur mon oreille et qu'il me murmure les derniers mots que j'entendrais en tant qu'humain :"Veux tu devenir un immortel ? Veux tu devenir un enfant de la nuit ?" Je respire péniblement et malgré cela j'arrive à lui répondre : "Oui, je le veux." Mais pourquoi ai-je dis cela ? Je l'ignore encore aujourd'hui... Après ma réponse, il se mords fortement le poignet et le pose sur mes lèvres, son sang roule entre mes lèvres dégoulinant sur le coin de mes lèvres à mesure qu'il rempli ma bouche. Une fois pleine, je l'avale encore et encore jusqu'à ce que l'homme retire son poignet pour de bon. Il prends ensuite mon visage entre ses mains et d'un coup sec me brise la nuque ! Ma vie humaine était finis, ma nouvelle vie d'enfant de la nuit débutait.

Les mois suivants, l'homme ou plutôt le vampire Marcus m'apprends tout ce que je dois savoir de ma nouvelle condition et des règles qui régissent notre monde. Il m'offrit une bague de jour afin que je puisse sortir et supporter les rayons du soleil. Il me confia le secret de sa création et de celui des anciens les premiers de notre race. Il m'expliqua que je devais faire une croix sur ma vie humaine. J'ai donc pris la décision pour leur bien de ne plus revoir aucun membre de ma famille. Ni ma mère, ni mes sœurs, ni mon demi frère, ni mes deux filles et mon fils ne me revirent jamais ! On leur raconta que la taverne où j'avais été boire avait pris feu et que j'y étais mort. Ma famille fit pour moi une cérémonie magnifique. Je continuais de suivre la vie de mes enfants en secret et celle de mes descendants par la suite Mais avec les siècles, je perdis le gout de faire cela. A présent j'ignore où se trouve ma lignée humaine. J'ai donc passé 2 siècles entier avec Marcus. Il était devenu mon ami, mon amant, mon tout. Puis un jour il disparut en me laissant orphelin de lui. J'ai donc parcouru le monde seule et parfois accompagné d'humains ou de certains de mes semblables. Je fis d'autres vampires à mon tour. Je revis Marcus quelques siècles après son abandon soudain. Je voulais lui en vouloir, mais je ne pus que le pardonner. Nous sommes resté en contact par la suite et quand il est venu s'installer dans le nouveau monde, il me demanda d'être son bras droit ce que j'acceptais. Cela fait donc depuis les années 20 que je suis à ses coté à diriger le clan Chthon ici dans le nouveau monde. Il n'est pas facile à vivre, mais jamais je ne le trahirais ! J'espère qu'il en a conscience ? "Oui, je le sais." La voix de mon Sire envahit mes rêves. Mes yeux se rouvrent, je vois toujours trouble et je souffre.

Un corps s'allonge à coté de moi. Un poignet se pose à nouveau sur mes lèvres et ne se retire pas cette fois. Je peux boire et enfin, la douleur dans mon corps disparait. Mes yeux retrouvent leur vue. La nuit est à nouveau tombée sur la ville lorsque je retrouve entièrement mes sens. Marcus à mes cotés repousse ma bouche de son poignet. Il calque des doigts et deux filles entrent dans la chambre. "Tu prends celle que tu veux." Me dit-il avec douceur. J'ai tellement faim que je prends simplement la plus proche de moi. Je l'attire à moi et je déchire son cou avec rage. Le sang macule le lit et  le sol et en à peine quelques gorgées, je la vide entièrement. Je laisse ensuite son corps retomber au sol. Marcus quand à lui déguste sa proie avec sa finesse et son élégance habituelle qui est d'ordinaire aussi la mienne. Il finit par également la laisser tomber totalement vidée au sol. Il pose ensuite son regard sur moi et me sourit. "Ce voyage dans tes souvenirs t'a plu ? J'espère que tu as compris pourquoi je devais te punir ?" "Oui j'ai compris." Puis je m'avance vers lui tel un prédateur et je le pousse sur le lit. Il se laisse tomber et me dit un sourire aux coins des lèvres : "Tu sais qu'ici c'est moi le maitre ?" Je me place avec autorité au dessus de lui et j'ajoute : "Pas ce soir Marcus !" Nos lèvres se rejoignent, puis nos corps s'embrasent. Le sang et le sexe se mélangent pour notre extase commune. Je le déteste parfois, mais je l'aime aussi cette dualité a toujours été là entre nous et elle restera là.

Au petit matin, lorsque mes yeux s'ouvrent à nouveau, mon Sire n'est déjà plus là. Un mot est écrit sur la table : "Ne me déçois plus jamais !" Je me rhabille et je rentre chez moi... Les affaires m'attendent ! Les Culebras ne vont pas s'en tirer si facilement ! Je n'ai pas oublié qu'ils sont la causes de mes souffrances et de la mort de Deirdre... La vengeance arrivera sous peu !  

Ma voiture m'attends dehors. Carlos en sort. Il semble épuisé. "Tu es resté là depuis mon entrée dans l'immeuble ?" "Où voudrais tu que je sois allé ? Il a dit quoi ?" Je secoue la tête et je grimpe dans la voiture. "Je ne dois plus le décevoir. Nous allons devoir réparer ce merdier ! Deirdre n'a pas survécu si cela t'intéresse de le savoir." Carlos hausse les épaules et démarre en ajoutant : "Il n'y a que toi qui pensais encore qu'elle survirait à cette nuit !" La voiture roule et nous partons direction le Bloody Lips.

Salut je suis Morgana et j'ai un age. J'ai découvert le forum grâce à J'en suis une des fondatrice. Je suis un inventé. J'en profite pour dire que j'autorise le staff à faire mourir mon personnage inventé si je venais à quitter le forum. Je serai présent à peu près 7/7 et je tiens à dire que le forum est Prometteur et trop beau !

Tu as à présent terminée ta fiche. Te voilà enfin prêt à parcourir El Rey et à vivre tes aventures ! Mais avant cela, il te reste encore quelques petites étapes : Recenser ton avatar ICI, ton métier LA, Tu peux ouvrir tes liens ICI, poster ta fiches de rps LA et utiliser tes réseaux sociaux ICI.

Bon jeu à toi. Le Staff de Night and Shadow.